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Une discussion initiée par julie, non membre, le 22/02/2015 à 17:09.
Salle de discussion: Psychologie, professionnels, thérapies
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Difficile à dire par Blandine, non membre, le 22/02/2015 à 21:31 pour julie Bonjour julie, Il est difficile de vous dire dans quel domaine il y a le plus d'opportunités d'emploi… Il est sûr que la psychologie clinique est un milieu particulièrement bouché, et ce, depuis toujours. Ceci dit, vous entendrez toujours autour de vous des gens qui ont trouvé rapidement du travail. Certains ont dû quitter aussi leur famille pour ce faire… (Il faut parfois être prêt à faire ce sacrifice, surtout pour les psychologues diplômés en IDF.) Ceci dit, juste choisir une filière parce qu'il y aurait plus d'opportunité… je ne sais pas… Principe de plaisir vs. principe de réalité, j'aurais tendance à dire qu'il importe surtout de choisir LA voie dans laquelle vous vous sentirez bien, et ça peut être celle qui est la plus bouchée. Mais cette remarque ne tient qu'à moi… Je suis pour ma part un bien mauvais cas d'opportunité d'emplois puisque je exerce en tant que psychologue en tant que libérale. Bon courage ! Discusison archivée |
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merci par Julie, non membre, le 22/02/2015 à 22:14 pour Blandine Bonjour Blandine, Merci de votre réponse. Je ne vais bien sur pas choisir ma spécialisation selon le marché du travail en fait je voulais juste quelques pistes. A vrai dire je travaille , je vais passer ma licence par correspondance puis me faire financer mes années de master( si possible) alors il est vrai qu'après tout cela je n'ai pas vraiment envie de galérer.... Cela dit j'ai deja qq idées et je ne pense pas y renoncer quelque soit le contexte économique... J'avais envie d'avoir quelques expériences de psychologues après l'obtention de leur titre .... Plutôt pour me conforter et me motiver un peu plus que je ne le suis déjà.... J'ai quelques peurs bien sur car ce n'est pas anodin de me lancer la dedans mais j'y crois quand même beaucoup! Discusison archivée |
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Oui, il faut y croire par Blandine, non membre, le 22/02/2015 à 22:22 pour Julie Oui, il faut y croire, même si ça n'est pas facile… Malheureusement, beaucoup de jeunes professionnels galèrent… C'est sans doute plus facile quand on est plus âgé, mais je ne saurais pas trop répondre à cette question, étant donné que je ne suis pas trop, trop concernée. Ensuite, j'ai quand même le sentiment (peut-être usurpé) que ceux qui se sont reconvertis ont trouvé quand même plus vite… Justement parce que même s'ils ont peu d'expérience en tant que psychologue, ils ont quand même de l'expérience par ailleurs et souvent un parcours assez riche. Et, mine de rien, mieux vaut penser à son réseau… C'est le mien qui m'a permis de trouver mon premier contrat de collaboration libérale auprès d'une société de RPS et de trouver mon local. Discusison archivée |
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en effet par Julie, non membre, le 22/02/2015 à 22:33 pour Blandine Je pense aussi que l'expérience et la maturité peuvent être des atouts non négligeables pour trouver un poste après le diplôme même si je ne crois pas que ce soit une garantie! J'ai un parcours qui peut paraître un peu bizarre mais qui je pense m'a énormément appris . En plus il est vrai qu'une reconversion ne se fait pas a la légère généralement on est plutôt super motivé!!!! Pour ma part j'ai 36 ans donc encore bien le temps de profiter d'une nouvelle profession si j'ai la chance de la pratiquer un jour! Bonne continuation a vous en tout cas Discusison archivée |
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Oui mais… par Blandine, non membre, le 22/02/2015 à 22:54 pour Julie Dans ma fac, il y avait beaucoup de personnes en cours de reconversion ou de poursuite d'études (dont moi). Ensuite, si ça a pu en aider certains à trouver du travail, d'autres se sont trouvés contraints de continuer à exercer leur ancien métier… et j'ai eu le sentiment que c'était bien rude pour ceux-là… Aucune garantie, effectivement. Ni pour un poste en tant que salarié, ni en libéral. Si je me suis lancée en libéral, c'est que j'ai un autre projet de vie à côté qui ne me permettait pas d'avoir une activité salariée, avec des contraintes horaires imposées par un employeur. Mais la réalité, c'est de l'angoisse tous les jours pour le cabinet, les rentrées d'argent, le fait d'être seul(e), sans appui d'une institution, quand bien même on est autonome et indépendant… La vérité, c'est qu'on galère aussi et que le risque d'échouer existe. Et que deux-trois ans pour se forger une activité n'est pas un luxe… Encore moins sur Paris & IDF. Peut-être qu'en Isère, ça vous sera plus facile. J'ai la chance d'être psychanalyste en plus et je compte me former à d'autres approches notamment, dont l'EMDR. Ça ne fait pas tout. Ensuite, il y a des moments magiques et pour ma part, je n'ai aucun regret. Mais oui, oui, c'est dur. Discusison archivée |
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Psychologue par Psy221, non membre, le 22/02/2015 à 23:04 pour Julie Bonjour Julie, Pour ma part je n'ai pas trouvé que l'âge était un atout (j'ai eu mon diplôme à près de 40 ans) et j'ai galéré pour au final ne pas trouver de poste salarié alors que les plus jeunes de ma promo ont réussi à décrocher des jobs. Les institutions (hôpitaux, associations...) préfèrent un personnel jeune et malléable. Alors que se passe-t-il quand des psys ne trouvent pas de postes salariés ? Ils s'installent en libéral... sauf qu'à force ça finit par en faire trop sur le marché et il n'y a plus de travail pour tout le monde. Si vous avez du réseau, alors vous pouvez encore espérer... Je vous conseille de lire le livre de Charlotte De Garavan 'Confessions d'un psy'. Discusison archivée |
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oups par LaraDuss, membre actif, le 22/02/2015 à 22:20 pour julie Bonjour Julie, Oups, c'est le gros point noir des études de psycho, la difficulté à trouver des stages, puis à trouver un emploi. Je pense que là où il y a le plus d'opportunité est la gériatrie, la neuropsychologie et le travail avec les autistes. Ceci dit, comme le disait une collègue, c'est aussi une question de région : où êtes-vous installée et/ou êtes vous mobile au niveau national? si vous êtes en Ile-de-France et que vous souhaitez y rester c'est très très compliqué. Personnellement, après 3 ans sans trouver de travail de psychologue en région parisienne (dont 18 mois à travailler en Province tout en vivant en région parisienne) je me suis lancée en libéral et j'en suis très heureuse... Mais c'est pas forcément simple non plus de se lancer... Bref, si ce que vous voulez, c'est un boulot quasi-sûr au bout de vous études, la psycho pourrait ne pas être la solution idéale... Si vous pouvez vous permettre de continuer votre ancien boulot le temps de trouver, voire de changer de région pour pourvoir un poste, ça peut être une formidable aventure. Je vous souhaite bon courage. Discusison archivée |
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julie_zakarian1978@hotmail.com par Julie, non membre, le 22/02/2015 à 22:27 pour Lara Dussaussois Bonjour Lara Dussaussois, Merci pour votre réponse . Je vis en Isère et travaille deja avec des adultes autistes , je pensais a cette orientation entre autres car je pourrais valoriser mon expérience. Je ne suis pas non plus dans l'urgence car j'ai un travail en CDI je pourrais donc y rester le temps de trouver un emploi de psychologue. C'est aussi pour cela que j'ai confiance , j'ai qq contacts dans le social , milieu ou je travaille actuellement et je ne serai pas dans l'urgence vitale de trouver un emploi de suite. Merci en tout cas d'avoir partagé votre expérience, bonne continuation a vous Discusison archivée |
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Réorientation pour devenir psy par Psychologue19, non membre, le 22/02/2015 à 22:32 pour julie Bonjour Julie, Personnellement, j'ai repris des études de psycho sur le tard, et j'ai quasiment tout le temps travaillé en parallèle, mais ça m'a pris 7 ans !! Aujourd'hui, diplômé psychologue clinicien depuis quelques années, je peux vous donner quelques éléments : 1) C'est un parcours difficile et long : comptez au moins 6 ans. 2) Financièrement c'est beaucoup de sacrifices 3) Le métier de clinicien est vraiment bouché. Beaucoup de psys ont des difficultés, certaines personnes ont 4 temps partiel !!. 4) Même en libéral c'est difficile, parce qu'il faut se constituer une patientèle et que cela prend de 2 à 3 ans, voire plus, ce qui implique qu'il est nécessaire de switcher d'une activité à l'autre ou d'avoir de la chance, ou d'etre très brillant(e) !! A Paris et dans les grandes villes il y a plus de psys. Il peut donc être très judicieux de s'installer en Province. Enfin, si vous allez vers la clinique il vous sera utile de vous spécialiser et de tenter de passer plusieurs formations en techniques de psychothérapie. Voilà, ce n'est pas très positif. Mais c'est une réalité : c'est difficile pour nombre d'entre nous. Au final, il est utile de vous écouter. Vous pouvez aussi essayer.. et voir ce que ça donne, c'est toujours utile de faire un peu de psycho... A vous de voir si vous souhaitez tenter le coup ! Discusison archivée |
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merci par julie, non membre, le 22/02/2015 à 22:41 pour Psychologue19 Bonjour Psychologue19, Merci pour votre réponse, je ne cherchais pas de toute façon une image édulcorée du métier, je tiens a avoir des retours qu'ils soient positifs ou négatifs. Je sais bien sur que ce n'est pas évident et que je ne vais pas forcément trouver du jour au lendemain une place de rêve, cela dit je crois qu'il y a peu de métiers aujourd'hui où l'embauche est supérieure a la demande....alors autant faire ce que l'on aime je crois..... après il est vrai que tenter ne coûte rien alors je verrai bien par la suite.... Bonne continuation a vous Discusison archivée |
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difficile par sylvie, non membre, le 23/02/2015 à 14:54 pour julie Bonjour julie, mes collegues vous ont parlé de l'ile de france,mais en province c'est tout aussi bouché et les postes se font par le bouche à oreille ou un trés bon reseau... peut-etre si vous n'avez pas de contraintes familiales ,les régions peu prisées l'auvergne ou les departements peu peuplés ou sans facs de psycho peuvent elles vous offrir quelques opportunités!!! Mais le libéral est à l'heure actuelle ,un pari trés risqué ,beaucoup de psys ne trouvant pas de travail se lancent dans cette aventure et il y a souvent trop de monde au memes endroits. Quant à l'age ,je confirme ,ce n'est pas forcement un atout,car les employeurs peuvent preferer des personnes plus jeunes et malléables. Voila ,je ne veux pas vous décourager ,mais la réalité est telle que l'on court le risque d'etre déçu,je connais pas mal de personnes qui se sont reconverties dans la psycho et n'ont pas trouvé de travail ensuite!! par contre ,un secteur en voie d'expansion est celui des risques psycho-sociaux,il faut aimer la psychologie du travail!! à vous de voir ce que vous avez vraiment envie de faire...BON COURAGE Discusison archivée |
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Zut... peut-être... je ne sais plus
