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Un rechute qui s'annonce.

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Une discussion initiée par Odyssée., non membre, le 18/03/2014 à 18:51.
Salle de discussion: Dépression, solitude, tristesse, désespoir, suicide


Bonjour,

Si je viens ici c'est dans un premier temps pour me confier et peut-être trouver de l'aide, qui sait. J'ai 19 ans, étudiante depuis septembre dans une nouvelle ville j'ai arrêté tout suivi depuis maintenant novembre 2012. Je suis tombée dans l'autodestruction à 13 ans, au collège et depuis, j'a eu plusieurs suivis dont une hospitalisation de 4 mois en vinique psychiatrique pour adolescents et deux passages aux urgences. Depuis, ça va certes mieux sur le long terme. Je ne suis plus rongée par des idées noires tous les jours, mais cela par période. Cependant, ces pensées sont violentes avec autodestruction : que se soit en m'infligeant des blessures volontairement, en me tournant vers l'alcool ou autre chose… Depuis environ janvier 2014 j'ai l'impression que certains signes refont apparition et s'installent : une angoisse persistante qui me bloque au point de m'empêcher d'aller en cours et ainsi de compromettre mon année, des difficulté à m'endormir, des idées noires… Je ne sais pas trop vers qui me diriger sachant que je n'ai pas les moyens de me payer un psychologue ou psychiatre. J'ai bien envoyé un mail au CMP de ma ville mais je suis toujours en attente de réponse. Je suis prête à entreprendre une thérapie pour soigner tout cela définitivement et durablement, et rapidement. Pensez-vous qu'il est possible de commencer directement avec un traitement pour voir un effet assez rapidement et réduire ensuite au fur et à mesure des séances ?

Merci d'avance pour votre réponse.

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Odyssée. a reçu 3 réponses

>   réponse par dom, non membre, le 19/03/2014 à 13:40 pour Odyssée.
Bonjour Odyssée.,

A la lecture de votre message, je pense que vous ne devez pas attendre plus longtemps pour entreprendre une démarche et trouver les ou la personne qui va vous aider.
Si vous êtes étudiante, tournez vous vers le BAPU (bureau d'aide psychologique universitaire) de l'université de la ville où vous résidez. Les consultations sont gratuites et vous devriez trouver rapidement un interlocuteur qui peut vous aider sur le long terme. N'hésitez pas à dire qu'il y a urgence. Ne laissez pas l'angoisse s'installer, réagissez vite. Si une aide médicamenteuse vous parait utile, pour apaiser l'angoisse, pour dormir, consultez un médecin et exprimer ce qui ne va pas. Vous pourrez très certainement laisser tomber les médicaments dès que vous aurez trouvé au BAPU une personne pour vous aider dans un travail par la parole.
N'attendez pas plus !! allez y !!
je vous souhaite d'aller mieux très très vite.
Bon courage pour ces moments difficiles, vous allez trouver la solution, je n'en doute pas.

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>  >   Bonjour. par Odyssée., non membre, le 20/03/2014 à 14:09 pour dom
Bonjour Dom,

Tout d'abord merci de votre réponse qui m'a fait réagir. Je suis étudiante mais en prépa du coup je suis rattachée à une fac trop loin de mon lieu d'étude. Cependant, j'ai pris rendez-vous dans un CMP pour dans deux semaines avec une infirmière psychiatre qui déterminerai si j'ai plutôt besoin d'un psychologue ou d'une psychiatre.

Merci beaucoup !

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>  >  >   réponse par dom, non membre, le 20/03/2014 à 18:33 pour Odyssée.
Bonjour Odyssée.,

Très bien. Vous avez eu la bonne réaction.
Si pendant ces deux semaines, vous souhaitez parler à quelqu'un, n'hésitez pas. Je vous répondrai.
cordialement

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