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Une discussion initiée par sophie, non membre, le 12/05/2016 à 19:49.
Salle de discussion: Psychologie, professionnels, thérapies
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Je le déplore profondément par Jérôme Vermeulen, membre actif, le 17/05/2016 à 10:26 pour sophie Bonjour Sophie, Je suis psychologue en Belgique, et notre code de déontologie est devenu contraignant d'un point de vue légal. Les relations sexuelles entre patient et psychologue y sont, bien entendu, c'est tellement évident, formellement interdites!! En Belgique, il y a moyen de déposer une plainte auprès de l'organisme qui fait autorité en la matière. Je ne connais pas la situation exacte ni les recours existant en France. J'attends les réponses d'autres psychologues français à ce sujet. A ce propos, vous dites "psy", mais s'agit-il d'un psychologue, d'un psychiatre, d'un psychanalyste, d'un psychothérapeute? Vous avez parfaitement raison: on consulte généralement un psy en période de fragilité, de vulnérabilité. Pas quand tout va bien et qu'on a les idées super claires avec le plein de confiance en soi. Le bureau du psychologue doit être un endroit hyper sécurisé. La porte du psy, c'est parfois aussi, peut-être pour vous l'était-ce?, la première porte que l'on pousse vers de l'attention, de la préoccupation qui est souvent sincère. Il y a dans la rencontre avec ce professionnel très particulier quelque chose d'une vraie relation humaine. Le psychologue a la responsabilité absolue de la garder bien cadrée, même si du côté de son/sa patient(e), quelque chose se déclenche à son égard (début de sentiment amoureux, comportements de séduction). Attention: en aucun cas je ne parle de votre situation particulière; je vous évoque des situations qui se présentent parfois et qui sont sous la responsabilité du psychologue. Je suis profondément fâché  de l'attitude de ce psy à votre égard et du tort qu'il vous a visiblement causé.Jérôme Vermeulen, psychologue Discusison archivée |
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Il est psychologue clinicien par sophie, non membre, le 17/05/2016 à 17:56 pour Jérôme Vermeulen Bonjour Jérôme Vermeulen, Merci pour votre partage , ma situation était compliquée car je suis rentrée en hopital de jour pour dépression sévère et phobie sociale et il etait mon psy référent . Je suis toujours traitée dans cette clinique mais suivie par un autre psychologue depuis il a quitté la clinique . Je ne sais pas si je dois réagir ou laisser tomber . Je n'ai pas draguée le psy c'et lui qui m'a dit qu'il partait et qu'il voulais conserver un lien avec moi . J'ai compris mon transfert trop tard . Je n'ai pas su dire non et c'est là mon erreur je pense . Merci Discusison archivée |
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Reponse par Ruth g, non membre, le 17/05/2016 à 11:53 pour sophie Bonjour sophie, Comme mon confrère de Belgique je suis outrée du comportement de votre psy (?).....j espère au moins qu il aura eu la decense de vous adresser a qqun d autre à moins que vous l ayez trouvé par vous même... C est très perturbant ce que vous avez vécu... Et ce " praticien " ne mérite pas de faire partie de notre profession qui ne plaisante pas du tout avec la déontologie elle est au centre de notre pratique clinique. Bien a vous Ruth g. Psychologue Clinicienne. rut Discusison archivée |
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Il est psychologue clinicien par sophie, non membre, le 17/05/2016 à 18:01 pour Ruth g Bonjour Ruth g, Je vous remercie de vos réponses Je suis suivie en clinique psy mais j'ai pris une psychologue à l'extérieur ....une femme .... Discusison archivée |
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Zut... peut-être... je ne sais plus
