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Une discussion initiée par Louison, non membre, le 22/08/2016 à 15:39.
Salle de discussion: Vie professionnelle, chômage, études
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Re: par Louison, non membre, le 22/08/2016 à 16:10 pour Louison Après quelques recherches, je suis tombée sur tout un tas d'articles ce genre d'articles : http://www.femmeactuelle.fr/bien-etre/bien-dans-ma-tete/travail-rivalite-femmes-19571 (interview d'un psychologue) http://www.marieclaire.fr/,rivalite-les-femmes-sont-elles-solidaires-ou-rivales,20258,49583.asp https://www.letemps.ch/economie/2015/09/17/rivalites-feminines-travail http://madame.lefigaro.fr/societe/madame-network-comment-stopper-la-rivalite-feminine-au-travail-270215-94954 Apparement, la rivalité/méchanceté entre femmes au travail existe bel et bien mais est un sujet tabou. Une femme chercheuse en psychologie sociale en a même fait un livre : http://livre.fnac.com/a7610107/Annik-Houel-Rivalites-feminines-au-travail?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&adhce=crtdcvrt2014&mckv=iSrEIqyJ_dc&pcrid=64457382383&ectrans=1&gclid=CIqWm6qZ1c4CFc0y0wodUtYBkQ Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 22/08/2016 à 21:45 pour Louison Et également les résultats (effrayants) de cette étude, pour ceux qui n'y croiraient pas : http://www.courrierinternational.com/article/2012/04/19/si-vous-etes-belle-ne-le-montrez-pas-sur-votre-cv "De fait, dans l’étude israélienne, 93 % des personnes chargées de sélectionner les candidats en vue des entretiens étaient des femmes. Conclusion inévitable et dérangeante pour les chercheurs : la bonne vieille jalousie a conduit les femmes à faire subir une discrimination aux jolies candidates." Discusison archivée |
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bonjour par syssy, non membre, le 26/08/2016 à 10:55 pour Louison Bonjour Louison, que voulez vous que l'on vous réponde? la modestie ne semble pas vous étoufez et vous vous présentez comme la 8 eme merveille du monde...il est clair que cela doit transparaitre dans votre comportement habituel et susciter des réactions de rejet chez vos interlocuteurs.... la beauté est une façade ,il vous faut apprendre à montrer ce qu'il y a derrière la façade et ne pas tout miser sur votre physique... peut-etre devriez vous consulter quelqu'un pour apprendre à aller au dela des apparences? car je ne sais pas comment vous pourrez apprehender la vie si un jour par un accident de la vie quelconque ,vous etes défigurée et ne pourrez plus ainsi faire étalage et vous servir de votre "beauté"....sachez que la beauté est trés subjective et que l'intelligence suscite beaucoup plus d'admiration....les filles des magazines par exemple ne sont que des papiers glacés qui se faneront un jour et sont prises pour ce qu'elles sont ;les recruteurs ou euses ne sont pas toutes des jalouses qui font subir une discrémination aux jolies candidates...cela vous arrange peut-etre de le penser car à aucun moment vous ne mettez en avant vos compétences...changez la donne ,montrez d'abord vos qualités professionnelles avant de vous "cacher" derrière votre beauté et peut-etre vos relations avec les femmes s'amélioreront elles? Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 26/08/2016 à 11:55 pour syssy Bonjour syssy, De quoi vous mêlez-vous ? Vous n'êtes absolument pas psychologue, sinon vous ne feriez pas toutes ces affreuses fautes d'orthographe et de syntaxe. "ne semble pas vous étoufez", "discrémination"... Puisque vous évoquez sur un ton donneur de leçons la question des "compétences", retournez sur les bancs de l'école développer les vôtres, et nous en reparlerons. Je "mise" comme tout le monde sur mes compétences, en entretien comme travail ; autrement, comment parviendrais-je à être embauchée et à vivre ces expériences professionnelles ? Je suis passée par une grande école après une prépa, des doubles diplômes à l'université, ai vécu dans plusieurs pays volontairement, pour m'ouvrir et vivre des expériences enrichissantes ; j'ai fait de multiples stages, suis dotée d'une très bonne culture générale, et suis ouvertes à diverses choses (arts, sciences humaines, sports...), et surtout, aux autres. Pour qui vous prenez-vous pour déduire les conneries qui parsèment votre réponse ? J'y suis : vous pensez peut-être être devin ? "peut-etre devriez vous consulter quelqu'un pour apprendre à aller au dela des apparences?" > A quel moment, dans mon message, ai-je déclaré considérer la beauté comme une valeur supérieure, ou mépriser ceux qui en seraient dénués ? Qu'est-ce qui vous dit que je "fais étalage et me sert de ma beauté" face aux gens, en public, au travail ? C'est tout l'inverse de ce que je suis, vous n'avez même pas idée ! Et ça n'est pas bien compliqué pour une femme de constater, de savoir qu'elle est belle : les hommes qui se retournent sur elle dans la rue, les regards et les petites attentions, les invitations et parfois les lettres et déclarations, les compliments des amis et de la famille le lui apprennent tout d'abord puis le lui rappellent très régulièrement. Mais vous n'avez sans doute jamais vécu ces choses agréables pour avoir développé et vivre avec les raisonnements tordus qui sont les vôtre (j'y reviens ci dessous). Et qu'est ce que ça peut vous foutre d'ailleurs, que je me trouve jolie ? La quasi-totalité des jolies femmes sont bien conscientes d'être dotée de cette qualité, ne soyons pas hypocrites. Les hommes beaux aussi, d'ailleurs. Et ça ne signifie pas que j'en fais étalage ou que je le jette à la figure des autres, comme vous le dites. - "vous etes défigurée et ne pourrez plus ainsi faire étalage et vous servir de votre "beauté"...." - "sachez que la beauté est trés subjective et que l'intelligence suscite beaucoup plus d'admiration...." - "les filles des magazines par exemple ne sont que des papiers glacés qui se faneront un jour et sont prises pour ce qu'elles sont" : Depuis quand un "psychologue" se permet de tels jugements de valeur ? Ca ne serait pas vous qui auriez un problème avec la beauté, pour sortir de tels raisonnements ? Seriez-vous frustrée par votre propre manque d'attrait physique ? La beauté est une qualité parmi d'autres, qui n'est pas moins, pas plus importante qu'une autre. Mais c'en est une, et à ce titre elle compte bel et bien dans la vie des personnes. Peu importe qu'elle soit éphémère (choses dont toutes les femmes ont bien conscience, puisqu'elles sont nombreuses à chercher à ralentir, parfois à tout prix, leur vieillissement durant une grande partie de leur vie). C'est une ressource comme une autre dans la vie. Combien de fois a t-on entendu dire que des personnes réussissaient "grâce à leur physique" ? Ou que des personne sont écartées d'un poste à cause de leur manque d'attraits physique ? Ca ne me semble pas plus méprisable que réussir grâce "au piston", "au réseau" ou à l'argent, entre autres. Comme si dans la vie, tout était aussi simple... Non, une partie importante des gens ne sont pas là où ils en sont, dans leur carrière notamment, grâce à "leur intelligence" ou à leur abnégation pure et désintéressée, ça n'est pas aussi manichéen que vos histoires d' "intelligence beaucoup plus admirée". Beaucoup de sociologues vous l'apprendraient... (mais, j'oubliais : vous ne lisez pas, ça ne fait visiblement pas partie de vos pratiques, vous préférez sillonner le net à l'affut de bonnes leçons de morale rigide et irréaliste à donner...) Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 26/08/2016 à 12:38 pour syssy Vos propos insultants et vos déductions à la va-vite, Syssy, ne font qu'illustrer le préjugé et la discrimination dont j'étais venue parler ici : Femme belle = pimbêche superficielle. Discusison archivée |
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re par syssy, non membre, le 27/08/2016 à 11:16 pour Louison Bonjour Louison, je ne vois pas ce que vous ètes venue faire sur ce forum,puisque vous ètes une femme parfaite et que ma réponse vous mets tout de suite en colère??? peut-etre nous prouver que lorsqu'on est trés beau et trés intelligent on a du mal à trouver du travail??? vu toutes les réponses(c'est à dire le manque de réponses)qui vous ont été faites je pense que beaucoup ont compris d'ou venait le problème.... Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 12:40 pour syssy Énormément de messages ne reçoivent jamais de réponse sur ce forum : un coup d'oeil sur la liste des discussions postées suffit à le constater. Une personne me répond par ailleurs ; mais celle-ci n'allant pas dans votre sens, vous préférez ne pas en tenir compte. Mais surtout, je suis venue ici discuter d'un problème avec des personnes polies et rationnelles, pas avec une hystérique. Discusison archivée |
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Calme, professionnalisme par Jérôme Vermeulen, membre actif, le 27/08/2016 à 13:34 pour syssy Bonjour Syssy, De la part d'une psychologue expérimentée, j'ai du mal à saisir le sens de votre message. Il n'y a dans votre réponse que confrontation directe et agressivité et aucune prise en compte du contenu du message original. On peut être belle, intelligente, le savoir objectivement et rencontrer des problèmes et des souffrances bien réels liés à cette situation. Quel problème avez-vous avec cela? Comment Louison aurait-elle pu expliquer son problème autrement que de manière simple, complète et directe? J'aimerais sincèrement que cette escalade dans l'échange d'arguments hostiles et stériles s'arrête là. Confraternellement, Jean Psychologue Discusison archivée |
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C'est du live, ça ne s'invente pas ! par Jérôme Vermeulen, membre actif, le 26/08/2016 à 14:16 pour Louison Bonjour Louison, J'ai lu votre texte avec intérêt. C'est, bien évidemment, 100% crédible et votre situation renvoie aussi à des dimensions "éthologiques" sur lesquelles je ne m'étendrai pas ici. Vous étayez par ailleurs votre message avec des études ou témoignages clairs. Mais c'est d'abord la réponse de Sissy qui est absolument remarquable. Vous venez donc exposer ici votre situation, l'agressivité d'autres femmes sur votre lieu de travail, qui tourne quasi-immédiatement à un harcèlement groupé. Vous êtes belle, intelligente... ça y, les femelles du groupe se sentent menacées par la nouvelle arrivée (n'y voyez aucune misogynie: c'est de l'éthologie!!). Vous exposez comme élément clé, que vous soumettez ici, le fait que vous êtes à la fois très belle et très intelligente. Ca se tient à 100%!! Et... et... hop, une femme monte au créneau pour vous envoyer une réponse agressive, qui ne retient essentiellement que votre imaginaire prétention et manque de profondeur... en ne retenant de votre exposé que votre beauté qui ne serait que de façade... bref, ce que vous exposez comme problème récurrent sur votre lieu de travail avec vos interlocutrices... Avouez que comme confirmation et validation de ce que vous avez exposé dans ce forum, on ne pouvait pas faire mieux. Cela rend vos difficultés encore plus crédibles. C'est du live 100% concret  Remercions Sissy pour son intervention édifiante qui valide totalement la réalité de vos soucis récurrents Jean Psychologue ... et homme bienveillant?? Discusison archivée |
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eh oui par syssy, non membre, le 27/08/2016 à 11:08 pour Jean (psy) Bonjour Jean (psy), eh oui,j'ai voulu faire une réponse qui renvoie Louison à sa problématique et elle s'est sentie tout de suite agressée...preuve s'il en est que dés qu'une femme touche du doigt à sa beauté,elle n'est qu'une ignorante et insultante...pauvre Louison ,je comprends mieux vos difficultés!!mais voyez vous ,je trouve que vous jugez un peu vite,je suis diplomée depuis un bon moment avec pas mal de diplomes d'ailleurs ,j'ai beaucoup voyagé,je m'interesse à beaucoup de choses,j'ai un métier qui me satisfait des collègues femmes trés agréables (dont une trés belle,qui ne fait pas étalage de sa beauté) c'est vous qui vous permettez des jugements de valeur(au passage,cela s'appelle de la projection en psychologie)et permettez moi de dire que votre réponse trés agressive me fait quand meme un peu douté de votre empathie et de votre capacité à pouvoir entendre le discours de l'autre...peut-etre est ce là dessus qu'il vous faudrait travailler??? ah ,mais j'oubliais un psychologue ne peut pas résoudre votre problème puisque ce sont les autres qui sont méchants... quant à vos remarques sur mon physique ,elles sont édifiantes sur le peu de crédit que vous faites aux autres puisque lorsqu'on vous renvoie à votre "symptome"vous imaginez tout de suite que l'autre est moche (sans l'avoir vue!!!)et disgracieux,ce qui explique sa réponse.Vous avez beaucoup de chemin à faire et ce n'est pas parce qu'on a fait maintes études et diplomes que l'on est forcement plus intelligent que les autres.Mais je vous laisse à votre problème insoluble car je pense que vous n'avez absoluments pas envie de le résoudre,mais preferez penser que votre beauté que vous mettez toujours en avant vous dessert et vous attire la jalousie de vos collègues femmes.. sYLVIE une psychologue qui en a vu bien d'autres!!! Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 12:03 pour syssy Bonjour syssy, On s'arrache les yeux à vous lire, revenez quand vous aurez appris à écrire (et cessé de décréter continuellement qu'une totale inconnue passe son temps à "faire étalage de de sa beauté" en société). Inutile de me ressortir les 2-3 mots et expressions que vous avez lues dans Psychologie Magazine et Marie-Claire à la glorieuse époque de votre troisième 1ere année de psycho. Je ne rencontre pas de problèmes pour me remettre en question, comme le prouve la réponse que j'ai faite à Jean. C'est vous qui avez à priori un problème avec les femmes qui ont l’outrecuidance de s'aimer un peu, de se reconnaître une qualité et de l'écrire sur un forum. Discusison archivée |
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ca chauffe par ici... par Michel Désert, membre actif, le 27/08/2016 à 12:21 pour Louison Bonjour Louison, ça devient sacrément tendu par ici  . Cela montre en tout cas si besoin en était que le sujet que vous amenez est facilement explosif!Ce qui m'importe dans cette discussion, c'est la souffrance que vous exprimez et le sentiment d'impuissance que vous rapportez par rapport à la gestion de ce type de situation. Comment vous positionner pour en sortir le mieux possible? Et par rapport à cela, oui clairement, un ou une psychologue peut vous aider, par exemple en travaillant sur la prise de distance par rapport à ces situations. Il sera important pour vous d'être vigilante quant à la qualité de la relation qui s'instaurera avec la personne que vous aurez choisie. Il faudra que vous vous sentiez en sécurité pour pouvoir avancer. En vous souhaitant de pouvoir avancer rapidement dans votre démarche, Michel, psychologue Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 13:31 pour Michel Bonjour Michel, Merci de prendre mon message en considération et de prendre le temps d'y répondre. C'est difficile de prendre de la distance quand on est dans ou sort d'une situation de harcèlement moral : c'est continu, répétitif, permanent, et ça a pour but de détruire la personne visée. Ce que mes collègues avaient partiellement réussi à faire : j'avais peur, étais triste et perdue, ne savant plus si j'avais des compétences professionnelles ou non malgré des réussites antérieures. Si l'expérience avait duré plus longtemps (ce qui était possible, mais j'ai refusé, sur les conseils d'un psy que j'ai consulté. Il ne s'agit pas d'un problème pour "trouver du travail" comme le dit si gentiment et avec une grande bienveillance toute pleine d'éthique votre collègue auto-proclamée "Sylvie"), je ne sais pas dans quel état j'aurais fini par me retrouver... En dehors de cette situation exceptionnelle, c'est effectivement un problème de gestion des conflits et de la compétition. Je ne sais pas comment réagir, quoi faire, quoi dire, et je m'en rends bien souvent compte trop tard. Ce qui offre un boulevard aux personnes mal intentionnées. Mais je n'ai jamais rencontré de problèmes de ce type avec des hommes, c'est ce qui est fou. En tous cas, je veux apprendre à m'imposer, m'affirmer. > Cela montre en tout cas si besoin en était que le sujet que vous amenez est facilement explosif! Ce que je perçois dans la réaction très vive et agressive de Sylvie, c'est le déni de l'existence de la "rivalité féminine". Cela sonne comme une volonté d'éviter, de laisser le sujet sous le tapis à tout prix. Je pense que c'est un sujet tabou que beaucoup de femmes ne veulent pas aborder ni admettre, notamment parce que ça serait regarder en face un comportement impulsif et peu glorieux que certaines adoptent de temps à autre dans leur vie personnelle ou au travail, voire en permanence pour les plus névrosées. Et parce que ça serait aussi admettre qu'en agissant ainsi elles mettent en oeuvre une forme de misogynie, très éloignée des valeurs féministes et modernes que la plupart d'entre-nous revendiquent. Il vaut mieux sortir ses griffes et crêper le chignon de la fille qui a osé mettre le sujet sur la table... Oui, c'est un sujet explosif mais qu'il est pertinent de questionner, j'en suis sûre. Discusison archivée |
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re par syssy, non membre, le 27/08/2016 à 16:08 pour Louison Bonjour Louison, je vous rassure ,je m'arrache aussi les yeux devant votre écriture et vos fautes... par contre dans toutes vos réponses,vous mettez bien en exergue quel est votre problématique: vous répondez gentiment aux hommes en vous faisant passer pour une victime vous m'agressez dés que je vous réponds preuve que j'ai bien mis le doigt là ou cela fait mal;la façon dont vous abordez vos relations avec les femmes ,en les rabaissant d'entrée ,en doutant de leur compétence et en insinuant quelles n'ont pas fait d'études ou sont inintelligentes ou moches...je comprends qu'avec ce genre d'attitude les femmes ne peuvent que vous rejettez,vous les considerez comme des moins que rien en vous posant en victime fragile de ces personnes! je pense que n'importe quelle femme vous renvoyant le négatif de votre attitude doit s'attirer vos foudres,je ne sais pas si vous avez remarqué que vous m'agressez depuis le début alors que je reste correcte avec vous sans vous insulter alors que vous le faites à mon encontre sans me connaitre... vous partez d'à priori et de jugements de valeur qui vous appartiennent et ne sont pas forcement justes j'ai moi meme subi un harcelement au travail de la part d'une femme et je me suis beaucoup remise en question aprés... le harcelement au travail ne concerne pas que les femmes ,mais peut etre excercé contre n'importe qui ,homme ou femme indifferemment je vous trouve trés rabaissante et humiliante dans vos propos envers moi;vous ne me connaissez pas ni mon niveau d'études et j'en prends d'entrée plein la figure...parce que je suis une femme...j'ai bien noté la difference de vos réponses avec ce que vous disent mes collègues hommes et moi meme....vous apportez vous meme ainsi la preuve du pourquoi de vos difficultés relationnelles avec les femmes....vous n'étes pas psychologue,alors il est dommage de dénigrer de dénigrer l' autre surtout quand c'est une femme sans le connaitre avant je vous conseillerais bien certains livres sur le narcissisme et ses rapports avec la personnalité,mais je crains fort que vous ne les compreniez pas.... je vais donc vous laissez vous faire plaindre par mes collègues hommes puisqu'apparemment c'est ce que vous preferez... Sinon ,je vous suggère de changer de métier et puisque vous ètes si belle de vous lancer dans le mannequinat peut-etre??? Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 16:42 pour syssy Vous êtes venue m'agresser gratuitement et tourner en ridicule mon problème et mes ressentis. Homme ou femme, il est normal que je m'insurge lorsqu'un inconnu me balance à X reprises que je "fais étalage de ma beauté", que je ne sais rien mettre d'autre en avant, ou sous-entend que celle-ci serait factice, entre autres. Et si je remets en doute le fait que vous soyez psy, c'est parce que vous écrivez mal, et tenez des propos agressifs et peu rationnels, choses qui n'ont pas lieu d'être dans un tel cadre à mon avis et posent amplement question. Si vous balancez de telles horreurs et raisonnements à deux francs à vos patients en consultation, il serait grand temps de vous mettre hors d'état de nuire. J'ai une mère, des soeurs, des amies, eue des colocataires de sexe féminin. Et ça n'a jamais tourné à la foire d'empoigne... même avec ma belle-mère ! Que j'estime énormément, comme certaines collègues ou anciennes camarades de promo qui m'ont beaucoup apporté intellectuellement ou humainement. Je ne crois pas que les femmes soient inférieures aux hommes. C'est vous qui vous victimisez ici en changeant soudainement le ton de vos messages, pour adopter un ton plaintif voire même mielleux. Vous utilisez mes propos pour me faire passer aux yeux des lecteurs pour une personne qui s'acharne sur les femmes (sur vous) et les hait. Vous êtes vraisemblablement une personne manipulatrice. On ne peut pas discuter avec les gens comme vous. Je ne vous répondrais plus désormais, ça n'a aucune utilité. EDIT DES WEBMASTERS A L'ATTENTION DES INTERVENANTS DANS CE FORUM: même en cas de profond désaccord, veuillez rester courtois lors de vos échanges. Nous supprimerons les messages qui tournent trop franchement à l'insulte. Discusison archivée |
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re par syssy, non membre, le 28/08/2016 à 13:42 pour Louison Bonjour Louison, personnellement et je m'en tiendrais là,je trouve qu'il y a beaucoup de haine dans vos propos à mon égard;c'est bien au dela de la colère..et c'est meme proche de la diffamation avec déformation de mes écrits... bonne continuation Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 11:38 pour Jean (psy) Bonjour Jean (psy), Merci pour votre message. La réaction de Syssy renvoie en effet plutôt bien à ce j'ai pu vivre : être au premier coup d’œil, par des inconnues, rangée dans la case des écervelées qui n'auraient jamais pris la peine de développer leur personnalité ou une quelconque compétence intellectuelle. Le tout accompagné d'une attitude de mépris et de condescendance, parfois même d'agressivité. "Vous exposez comme élément clé, que vous soumettez ici, le fait que vous êtes à la fois très belle et très intelligente. Ca se tient à 100%!!" > En fait, je ne voulais pas dire que je me prends pour une personne extrêmement intelligente : simplement que j'ai comme beaucoup de gens des qualités, une personnalité et des compétences, et de ce fait, tout à fait ma place dans le monde professionnel. Et ça me révolte d'avoir été injustement traitée, que des femmes, dont ma chef, m'aient mis durant six mois des bâtons dans les roues, notamment en me plaçant dans une position leur permettant que la direction et des partenaires clés entrent le moins possibles en contact avec moi, et ne puissent pas voir mon travail ou constater ce dont je suis capable. Car en plus de me dévaloriser quotidiennement, elles ont utilisé leur position au sein de l'établissement pour me rendre invisible sur le plan professionnel et minimiser au maximum le développement d'un "réseau", de contacts professionnels dans notre milieu. Ca me fout vraiment les boules d'avoir été isolée professionnellement durant toute cette expérience, alors que le poste et l'établissement offraient pas mal de possibilités sur ce plan. Elles ont même dis à leurs connaissances travaillant dans d'autres établissements de ce type (c'est un petit milieu ou tout le monde se connait à l'échelle de l'agglomération) que j'étais "une catastrophe". C'est le gros problème, en fait : je pourrais tout à fait vivre avec le mépris d'une minorité si ça ne s'accompagnait pas de cette volonté de "détruire" et de m'empêcher à tout prix de me faire une place dans ce milieu professionnel. C'était un "désir" que je ressentais très fortement avec les 2-3 collègues féminines que j'évoquais dans mon premier message, surtout chez l'une d'elle qui y a investie une grande énergie : remarques quotidiennes me faisant douter et perdre confiance en moi, remise en cause systématique de mes réalisations, même les plus simples ; rétention d'informations, tâches inférieures à mes compétences et à ma fiche de poste, et cerise sur le gâteau, rumeurs dévalorisantes et isolement ... Je suis effectivement certaine que mon apparence explique ces comportements, mais il y a également le fait que je suis une personne plutôt effacée et qui a l'air fragile : je pense que ça se voit et que cette minorité de femmes malsaines ou frustrées se ruent sur la belle occasion. Et je suis complètement étrangère à toute forme de compétition : ça ne me traverse jamais l'esprit, jusque très récemment je ne saisissais même pas qu'il s'agissait de ça. Je cherchais à comprendre ces comportements qui m'étonnaient, me semblaient complètement irrationnels (et méchants) sans en comprendre la cause (et qui ont commencé au lycée, quand je suis devenue jolie en à peine 2-3 mois). En fait, j'ai manqué de confiance en moi toute mon enfance et mon adolescence, ainsi qu'au tout début de ma vie d'adulte, et je pense que mon attitude corporelle l'affiche encore (malgré le fait qu'intérieurement, depuis plusieurs années, j'ai le sentiment d'être une personne accomplie, intéressante et qui vaut tout aussi bien qu'une autre). Tout ça fait que je suis bien incapable de me défendre quand on s'en prend à moi si violemment, je ne détiens pas "les codes" pour ce genre de situations. C'est ce dernier point que je voudrais corriger pour mon avenir professionnel (dans un milieu malheureusement à 99% féminin... et pas les plus malignes intellectuellement : il ne faut pas être issues de formations "intelliectuelles" mais plutôt d'écoles de commerce ou de com', ce genre d'univers) et c'est ce que j'étais venue demander ici : il n'y a pas des formes de thérapies, des psychologues spécialisés pour ce genre de choses ? Discusison archivée |
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On a une base de travail intéressante par Jérôme Vermeulen, membre actif, le 27/08/2016 à 12:07 pour Louison Bonjour Louison, Nous avons dans ces échanges déjà quelques données de départ. 1/ Une base de ces difficultés renvoie sans doute à une dynamique de rivalités féminines ou de sentiment de menace de la part de certaines collègues (dimension "éthologique"). 2/ L'univers professionnel aussi, dans lequel vous évoluez, et qui semble compétitif, commercial (dimension "contextuelle"). 3/ Mais il y a aussi, visiblement, certaines attitudes et émotions ou difficultés relationnelles qui viennent perturber ces situations (dimension "psychologique/émotionnelle"). Apparemment la difficulté à gérer certaines situations de tension ou de conflit. Vous semblez aussi avoir un peu de mal à vous comprendre vous-même, à vous situer dans vos relations avec les autres. Comment comprendre l'agressivité, la compétition, le conflit dans les relations humaines? Comment bien trouver votre place dans tout ça, élaborer des relations plus satisfaisantes tout en ne vous trahissant pas dans ce que vous êtes... Une petite piste... Souvent, le manque de confiance en soi renvoie au manque de confiance dans ses émotions. On a un haut niveau intellectuel, et on est débordé par des émotions qu'on ne comprend pas, qu'on ressent comme intrusives ou inappropriées, qu'on veut contrôler, qu'on analyse pendant des heures... on "cérébralise" l'émotion, on ne lui fait pas confiance, on la met en doute, on inhibe certaines émotions qui ne collent pas avec nos valeurs morales (agressivité, colère...) et quand elles montent, ces émotions, on peut même se sentir anxieux. Si c'est le cas, un travail de compréhension de vos émotions pour apprendre à mieux les utiliser serait particulièrement profitable pour vous !! Il existe différentes formes de thérapies. Certaines plus pragmatiques / orientées solutions, d'autres plus cérébrales / analytiques. A vous de voir où vous pourriez vous sentir le mieux a priori. Si vous êtes une grande cérébrale, on imagine l'écueil d'aller chez une psychologue qui est une grande cérébrale aussi. Peut-être est-il plus profitable alors d'aller chercher du pragmatique. Sachant que les recherches factorielles démontrent que la qualité de la relation entre vous et votre psychologue constitue un facteur tout à fait central, qui prime même sur l'obédience thérapeutique du psy (sauf situations très précises) !! Jean Psychologue Discusison archivée |
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Re: par Louison, non membre, le 27/08/2016 à 16:59 pour Jean (psychologue) Bonjour Jean (psychologue), Effectivement ces trois "bases" me semblent correspondre au problème et à mes ressentis. Je ne sais pas vraiment s'il s'agit d'un univers professionnel très compétitif (la culture), mais très clairement, le fait qu'on y embauche désormais en priorité des personnes issues de grandes écoles de commerce ou de marketing (les quarantenaires/cinquantenaires présents depuis longtemps étant eux issus de l'université, ou ont commencé au bas de l'échelle, sans diplômes) change sûrement un peu la donne en effet. Et je fais effectivement passer en priorité l'analyse et le ressenti "intellectuel" sur les émotions, mon conjoint me le dit tout le temps. C'était d'autant plus exacerbé dans le contexte de harcèlement moral que j'ai décris, mais c'est "automatique", involontaire ; c'est quelque chose que je fais depuis très longtemps je croix. Cette piste me semble être intéressante en tous cas : comment s'appellent les formes de thérapies pratiques / pragmatiques que vous évoquez ? Discusison archivée |
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On parle de thérapies brèves par Jean (psy), non membre, le 30/08/2016 à 10:30 pour Louison Bonjour Louison, Les émotions constituent des informations particulièrement importantes à prendre en considération dans de nombreuses situations de la vie quotidienne. Couple, vie professionnelle, décisions... C'est un souci humain fréquent: nous sommes dotés d'un "cerveau supérieur" particulièrement valorisé par notre espèce (à juste titre: c'est lui qui nous permet d'aller, en partie, vers mars). Mais nous sommes aussi dotés d'une cerveau plus primaire, qui constitue néanmoins une forme d'intelligence tout à fait nécessaire. Nous avons encore tendance à considérer qu'il faut privilégier systématiquement le premier au détriment du second, lequel existerait essentiellement pour nous perturber. Des recherches (cf. les publications d'Antonio Damasio) ont démontré d'ailleurs que des personnes souffrant d'un déficit émotionnel sévère (traumatisme cérébral, AVC) ne sont plus capables de prendre des décisions rationnelles correctes. Les thérapies brèves orientées vers les solutions, les thérapies cognitives de troisième génération (thérapie ACT par exemple, très centrées sur l'acception et l'observation de ses émotions) constituent des approches qui vous permettront de travailler essentiellement dans l'ici et maintenant. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a aucune possibilité de parler du passé, et cela ne veut pas dire non plus que les autres formes de thérapies peuvent pas vous aider! Bonne chance! Jean. Discusison archivée |
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Zut... peut-être... je ne sais plus
