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S'y connaître en psychologie a un impact néfaste sur la réussite d'une psychothérapie ?

Cette discussion a été postée le 18/02/2023 et a donc plus d'un an. Elle est accessible en lecture seule et il n'est plus possible d'y ajouter de nouveaux contenus ou de poster des messages à son auteur et cela afin de garantir la tranquillité de l'auteur.

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Une discussion initiée par Mariane123, membre actif, le 18/02/2023 à 14:40.
Salle de discussion: Psychologie, professionnels, thérapies


Bonjour à tous. Je me posais une question :

Est-ce que le fait de se renseigner sur la psychologie peut avoir une influence néfaste sur la réussite de sa propre psychothérapie (TCC en l'occurrence) ?

Autrement dit :
Est-ce que la thérapie va moins bien fonctionner si on est renseigné sur les tcc ?

Merci par avance pour vos réponses :))

Discusison archivée

Mariane123 a reçu 2 réponses

>   Re: S'y connaître en psychologie a un impact néfaste sur la réussite d'une psychothérapie ? par veropsy, membre actif, le 21/02/2023 à 15:17 pour Mariane123
Bonjour Mariane123,
Bien au contraire, en TCC, on procède souvent à des lectures conseillers, pour être davantage participatif à la compréhension des processus. Toutefois, laissez votre thérapeute vous guider selon les besoins immédiats que vous mettre à jour ensemble !

Discusison archivée


>   Re: S'y connaître en psychologie a un impact néfaste sur la réussite d'une psychothérapie ? par Jérôme Vermeulen, membre actif, le 22/02/2023 à 8:26 pour Mariane123
Bonjour Mariane123,
Même réponse que Veropsy Smiley
J'ajouterais que pour certaines personnes (dont vous faites peut-être partie?) c'est important d'être informé de ce que l'on fait, avec qui on le fait. C'est d'ailleurs un peu la base de ce site: vous informer !
Donc la démarche est même plutôt positive. Vous aurez sans doute lu beaucoup de choses très positives et encourageantes sur les TCC, ce qui ne peut qu'appuyer votre motivation et votre confiance, et l'efficacité de votre démarche Smiley.
Mais attention à ne pas aller trop loin. Concrètement: à ne pas intervenir toutes les 5 minutes, à entrer dans une démarche de contrôle de ce qui se passe, à poser des questions comme "pourquoi vous faites ceci?" ou "pourquoi n'utilisez pas cette méthode?" etc Là, ça commencerait à être perturbateur plutôt que constructif.
Sachez aussi que si certain·e·s psychologues n'ont pas de souci à répondre à vos questions ou à expliquer, d'autres se montreront parfois moins enclins à introduire cette dynamique d'expliquer. Mais cela n'est pas typiques des psychologues; c'est pareil chez les médecins, les dentistes...
Bon travail en tous les cas et plein de succès dans votre démarche !
J.VERMEULEN
Psychologue & webmaster

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